"Et ma maison... ? tu l'aimes ma maison ?" ...suite
"Il y avait à Capri, en la partie la plus sauvage,
la plus solitaire, la plus dramatique,
en cette partie entièrement tournée vers le midi et l'orient,
où l'île, d'humaine, devient féroce,
où la nature s'exprime avec une force incomparable et cruelle,
un promontoire d'une extraordinaire pureté de lignes,
en cette partie entièrement tournée vers le midi et l'orient,
où l'île, d'humaine, devient féroce,
où la nature s'exprime avec une force incomparable et cruelle,
un promontoire d'une extraordinaire pureté de lignes,
qui déchirait la mer de sa griffe rocheuse. (...)"
"(...) Nul lieu, en Italie, n'offre une telle ampleur d'horizon,
une telle profondeur de sentiment.
C'est un lieu, certes, propre seulement aux êtres forts, aux libres esprits.
Car il est facile de se laisser dominer par la nature,
"(...) Nul lieu, en Italie, n'offre une telle ampleur d'horizon,
une telle profondeur de sentiment.
C'est un lieu, certes, propre seulement aux êtres forts, aux libres esprits.
Car il est facile de se laisser dominer par la nature,
d'en devenir l'esclave,
de se laisser déchiqueter par ces crocs délicats et violents,
de se faire engloutir par cette nature comme Jonas dans sa baleine."
Extrait de C. Malaparte, Ritratto di pietra (Portrait de pierre) 1940.
in "LA CASA MATTA DE MALAPARTE" de M.Talamona.
de se laisser déchiqueter par ces crocs délicats et violents,
de se faire engloutir par cette nature comme Jonas dans sa baleine."
Extrait de C. Malaparte, Ritratto di pietra (Portrait de pierre) 1940.
in "LA CASA MATTA DE MALAPARTE" de M.Talamona.
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